lundi 7 avril 2014

2014/03/29. Samedi. Couverture nuageuse puis ...soleil et chaud.

Kpm).
 Il a plu toute la nuit!!! Des orages, des éclairs, du vent à tout arracher. Je plains ceux qui sont sous la tente (il y en a…). Au réveil, le soleil tarde à se montrer. Reprenons le refrain : On y vati, on y vati pas?? » JP préférerais rester ici à faire le blogue ou n’importe quoi d’autre. Finalement, on y va…habillés très légèrement et sans parapluie. Pourquoi???? Il fait gris, il fait froid et on en a marre. Nous cherchons à nous réfugier qq part. Au musée? Au cinéma IMAX? 
Dans les toilettes? nous découvrons des toilettes, parents- enfants. 


Non, nous prenons le traversier vers Agnier Point de l!autre côté du Mississipi. Belle vue sur la Nouvelle-Orléans. La traversée coûte 1$ pour les Seniors et dure 5 min. (Maximum).




Ce matin, Rex nous a confirmé que c’était là un coin génial, il y a vécu, plusieurs années. Vraiment extraordinaire! Comme un petit village. 


Les maisons jolies et bien entretenues avec dentelles de bois de toutes les couleurs (ou alors, complètement à terre). 

Visite de l’église Immaculée-Conception. Petit déjeuner au Café tout de suite. Je commande du gruau pour mon Jean-Pierre frigorifié avec ses belles pattes à l’air. « Irish Channel », tel est le nom du plat. Chanceuse, je prends un muffin aux fraises sans gluten…avec du beurre et bien sûr, chacun café.



Lu dans la toilette du Café ce petit conseil bien mignon:

Retour vers le traversier en marchant sur le terre-plein qui protège la ville des ardeurs du fleuve sur le sommet duquel on a aménagé justement une promenade...comme partout le long du Mississipi, pratiquement toujours impossible à voir de la route. (Il est par conséquent, inutile d'emprunter les petites routes qui le longent).

 Un monument nous apprend que Pointe Agnier est le 2e établissement français en Louisiane que par la suite tous les immigrants y transitaient (dont les cajuns), comme Grande Isle chez nous.

Retour à la Nouvelle-Orléans vers 14 h. Il fait SOLEIL et CHAUD. En route vers le Parc Luis-Armstrong et le cimetière Saint-Louis, nous trouvons une charmante boutique où l’on vend de tout « One of each « , dit la propriétaire, dont des articles de vélo. Jean-Pierre achète de l’huile à chaîne.



Cimetière impressionnant, la reine du vaudou y est enterrée mais on ne le sait pas à ce moment-là. 

Le parc Armstrong (pour Louis ARMSTRONG) est vraiment attirant et les sculptures à voir. 





Diane les regarde tant qu’elle ne voit pas le trottoir et se jette par terre. Ouille! Les jambes pas mal égratignées et le dos…tordu… quant aux mains, elles sont brûlantes. Mais bon, les dents ont tenu. 
Ballade dans le quartier français bien différent en ce samedi après-midi ensoleillé. 




bravo! c!est la bière que Jean-Pierre boit ici. La blue moon. 

Une pluie...de bulles de savon irisées...





Souvenirs du carnaval

Affichage en français...

Ballade dans le district Marigny, retour par le French Market. On mange des Poboys et partage une bière à la fraise. Super! Il y a du monde!!!!Partout aujourd’hui. Nous sommes samedi (avions encore oublié) et il fait beau. Les artistes sont partout, les gens boivent sur la rue. Icil, interdiction ne porte pas sur ce que l’on consomme mais sur le contenant « Pas de contenant de verre! » Question de contenant, en voici une autre.
Surprise! Un attroupement. De quoi s’agit-il, cette fois? De jolies jeunes filles, les seins nus mais peinturlurés déambulent un panier (ou un seau) à la main. Elles acceptent de se faire photographier si on met qqc ($) dans son contenant. Jean-Pierre détourne sa caméra (pas souci d’économie, sans doute). Dommage pour les lecteurs du blogue! Nous nous avons les images en mémoire. 

Dans le square Jackson, deux grands généraux ont laissé leur trace:  le général Jackson fier sur son cheval (première statue équestre dont le cheval tient sur seulement 2 pattes) et le général de Gaulle dont la visite le 29 avril 1960 a donné lieu à l'installation d'une fontaine. 


(Oups! 2 photos d'hier sous la pluie???tant pis!)

Mon muffin est bien loin...nous partageons une bière et mangeons chacun "poboy", Jean-Pierre au lapin et moi au bœuf déchiqueté. La Poboy était à l'origine destiné aux "pauvres garçons"; dans une baguette, on mettait tout cequel'on pouvait trouvé. De nos jours, on utilise des pains à hot-dots ( que je n'ai pas mangé). JP s'est régalé du pain imbibé du jus de viande et de sauce.

De retour au camping, préparatifs pour départ demain matin, apéro, souper et visite à Rex à qui nous racontons combien nous avons aimé son petit village.

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