lundi 7 avril 2014

2014/04/01. Mardi. Soleil.

Levée bien  avant 7h, Audrey nous attend avec tout un déjeuner (et le café promis). Quand Jean-Pierre lui demande combien nous lui devons pour ce repas, « Ne parle pas de ça, sinon tu auras la fessée! ». Elle ne nous laisse pas partir sans les photos officielles avec drapeaux et bannières, ni sans nous avoir donné les coordonnées de sa cousine Léa de LaFayette à qui elle annonce notre venue.

Je m’ouvre à elle de mon rêve de Bed and Breakfast. Elle m’encourage et me donne de judicieux conseils. Pour Jean-Pierre, elle ajoute : « Si c’est son besoin de recevoir des gens, tu dois la laisser faire. Vous serez plus heureux. » Et à moi; « Pour gagner mon mari, je lui a promis le premier mois de revenus et la moitié par la suite. Cela a fait son affaire. » Nous quittons à regret cette boule d’énergie qui a représenté la culture louisianaise jusqu’en France et construit ici tout un réseau de gites plus acccueillants, les uns que les autres. Elle a de plus participer à la fondation du Codofil où nous allons tantôt.
Malheureusement, nous ne trouvons pas Léa chez elle et lui laissons un mot. Nous comptons revenir plus tard mais ne pourrons pas et lui enverrons un courriel le lui expliquant. Nous nous rendons au bureau du Codofil et rencontrons le directeur. Belle conversation. Je mettrai Danièle en contact avec lui. Moi aussi, cela m’allume qqs étoiles.






Nous nous rendons au camping Acadiana. Personne à l’accueil. Nous arrivons en même temps qu’un couple de touristes venus d’Italie. Jean-Pierre réussit à communiquer avec les responsables et à ouvrir la porte pour le plus grand bonheur de nos nouveaux amis. Un camping des plus simples (Lorraine et Michel y sont venus) dans un environnement boisé des plus reposants. Ayant choisi notre site, le RT délesté des vélos, nous partons vers Vermillonville, village historique. Il s’agit d’un village reconstitué comme le village québécois d’antan à Drummondville. Il ferme à 16 h, nous reviendrons peut-être demain mais sommes un peu fatigués. De plus, notre blogue (pas fait encore) nous turlupine. D’autant plus que nous nous préparons à quitter la Louisiane et entreprendre une nouvelle étape. Petite épicerie + achat de boudin aux crevettes et au crabe pour demain soir.
Apéro avec Ivan et Évelyn.


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